À quelques kilomètres du lac de Côme, là où les brumes matinales caressent encore les verrières des manufactures historiques, Olmetex élabore depuis 1954 des tissus techniques qui ressemblent à des fragments de paysage. Des toiles où se croisent le mouvement de l’eau, la légèreté de l’air et la précision de la main humaine.
Fidèle à sa vocation d’innovateur textile, Olmetex est devenue une référence internationale dans le domaine des tissus fonctionnels haut de gamme, conçus pour résister au temps, aux éléments, aux usages intensifs, sans jamais perdre cette sensualité de surface qui fait la beauté d’un textile bien né. Ses matières habillent des manteaux urbains, des parkas d’architecte, des vêtements de pluie qui ne se contentent pas de couvrir — ils racontent.
La singularité d’Olmetex repose sur sa maîtrise totale de la chaîne de production : filature, tissage, enduction, lamination, teinture, finition… Tout est fait sur place, avec une obsession pour la régularité du geste, la durabilité du rendu, la fiabilité des performances.
La technique, ici, ne s’oppose pas à l’émotion : elle la porte. Les tissus Olmetex peuvent être hydrophobes, coupe-vent, respirants, stretch, mais ils demeurent soyeux, équilibrés, sensuels. Ils parlent à la fois au styliste et à l’utilisateur final. C’est cela leur force — une intelligence matérielle profondément ancrée dans le réel.
Et parce que le futur ne saurait exister sans responsabilité, Olmetex a fait de la durabilité un pilier de son développement. Certification BLUESIGN®, gestion intégrée de l’eau, réduction des solvants, lignes en fibres recyclées : l’entreprise tisse aujourd’hui des tissus qui respectent autant le porteur que la planète.
Présente sur les grands salons internationaux — Milano Unica, Première Vision, PRECO — la maison italienne séduit une clientèle exigeante, architectes de la silhouette, marques de plein air, tailleurs d’un monde en mutation. Olmetex, c’est le textile du dehors pensé dedans.
Michael Timsit
